Gérard ALLEMANN

?La psychothérapie Cognitive et Comportementale Beaucoup moins longue qu'une analyse elle nécessite tout de même plusieurs mois de travail pour juguler les symptômes et surtout consolider la structure psychique. Car éliminer un symptôme est une chose, faire qu'il ne revienne pas en est une autre. Cela nécessite un travail plus en profondeur, ce que permet la technique « Comportementale et Cognitive Par exemple, les symptômes majeurs d'un syndrome dépressif disparaissent en moyenne après 4 mois de traitement (sauf dans les cas de dépression grave). Mais la consolidation des mécanismes psychiques sous-jacents peut prendre une année, une année et demi, voire plus selon le cas. Les troubles psychiques Le traitement par cette méthode est particulièrement préconisé pour les états dépressifs, pour les états d'angoisse (phobiques ou autres), pour les troubles du comportement alimentaire (boulimie, anorexie,...) mais aussi et plus généralement pour les états de mal-être de la vie quotidienne : deuil, séparation, inhibition, insatisfaction chronique, doute de soi... Cette liste est loin d'être exhaustive. Tout problème d'origine psychique est susceptible d'être traité à sa racine. C'est la spécificité de ce traitement, de s'attaquer à la "racine du mal", à la cause cachée, inconsciente et non pas seulement aux symptômes visibles. C'est pourquoi ce traitement peut paraître parfois long, mais sûr, à condition d'aller jusqu'au bout. Longueur du traitement Nous luttons là contre des forces inconscientes très profondément enfouies. Ces forces inconscientes sont constituées de tout ce que nous ne voulons pas savoir sur nous-mêmes. C'est une lutte contre soi- même et à l'intérieur de nous "ça" résiste. Le patient vient en thérapie parce qu'il souffre et consciemment veut se défaire de cette souffrance. Mais il y a également en lui une autre force, inconsciente celle-là (qu'on ne veut pas savoir), qui ne veut pas lâcher cette souffrance, qui veut la garder. La thérapie consiste à vaincre cette résistance. La régularité des séances Comment ? Grâce à l'extrême régularité des séances. Une séance de thérapie par semaine, voire deux. Il ne faut pas sauter de séance (excepté pendant les vacances). Une séance ne doit jamais être annulée, mais elle peut être reportée. Cette régularité conditionne la réussite du traitement. C'est un réel engagement pour lutter contre ces forces intérieures qui "pourrissent" la vie. Le paiement des séances Le traitement a un coût financier qu'il faut prévoir dans son budget. Payer sa thérapie est important car c'est la condition de l'engagement. Ceux qui ne paient pas ne vont pas jusqu'au bout, ça ne marche pas. Ce coût n'est pas une charge, c'est un investissement sur l'avenir. Car il s'agit de se donner les moyens de se débarrasser de manière définitive de ce qui entrave notre vie. Cela permet de ne pas « s’encrer » dans nos propres « certitudes du passé » Lâcher Prise devient alors possible... ?• « Je me suis enfin libéré de mes chaînes, c’étaient mes certitudes » Marc AURELE ??Gérard Allemann Psychologue-Psycho praticien Certifié ?

?La psychothérapie Cognitive et Comportementale Beaucoup moins longue qu'une analyse elle nécessite tout de même plusieurs mois de travail pour juguler les symptômes et surtout consolider la structure psychique. Car éliminer un symptôme est une chose, faire qu'il ne revienne pas en est une autre. Cela nécessite un travail plus en profondeur, ce que permet la technique « Comportementale et Cognitive Par exemple, les symptômes majeurs d'un syndrome dépressif disparaissent en moyenne après 4 mois de traitement (sauf dans les cas de dépression grave). Mais la consolidation des mécanismes psychiques sous-jacents peut prendre une année, une année et demi, voire plus selon le cas. Les troubles psychiques Le traitement par cette méthode est particulièrement préconisé pour les états dépressifs, pour les états d'angoisse (phobiques ou autres), pour les troubles du comportement alimentaire (boulimie, anorexie,...) mais aussi et plus généralement pour les états de mal-être de la vie quotidienne : deuil, séparation, inhibition, insatisfaction chronique, doute de soi... Cette liste est loin d'être exhaustive. Tout problème d'origine psychique est susceptible d'être traité à sa racine. C'est la spécificité de ce traitement, de s'attaquer à la "racine du mal", à la cause cachée, inconsciente et non pas seulement aux symptômes visibles. C'est pourquoi ce traitement peut paraître parfois long, mais sûr, à condition d'aller jusqu'au bout. Longueur du traitement Nous luttons là contre des forces inconscientes très profondément enfouies. Ces forces inconscientes sont constituées de tout ce que nous ne voulons pas savoir sur nous-mêmes. C'est une lutte contre soi- même et à l'intérieur de nous "ça" résiste. Le patient vient en thérapie parce qu'il souffre et consciemment veut se défaire de cette souffrance. Mais il y a également en lui une autre force, inconsciente celle-là (qu'on ne veut pas savoir), qui ne veut pas lâcher cette souffrance, qui veut la garder. La thérapie consiste à vaincre cette résistance. La régularité des séances Comment ? Grâce à l'extrême régularité des séances. Une séance de thérapie par semaine, voire deux. Il ne faut pas sauter de séance (excepté pendant les vacances). Une séance ne doit jamais être annulée, mais elle peut être reportée. Cette régularité conditionne la réussite du traitement. C'est un réel engagement pour lutter contre ces forces intérieures qui "pourrissent" la vie. Le paiement des séances Le traitement a un coût financier qu'il faut prévoir dans son budget. Payer sa thérapie est important car c'est la condition de l'engagement. Ceux qui ne paient pas ne vont pas jusqu'au bout, ça ne marche pas. Ce coût n'est pas une charge, c'est un investissement sur l'avenir. Car il s'agit de se donner les moyens de se débarrasser de manière définitive de ce qui entrave notre vie. Cela permet de ne pas « s’encrer » dans nos propres « certitudes du passé » Lâcher Prise devient alors possible... ?• « Je me suis enfin libéré de mes chaînes, c’étaient mes certitudes » Marc AURELE ??Gérard Allemann Psychologue-Psycho praticien Certifié ?

?La psychothérapie Cognitive et Comportementale Beaucoup moins longue qu'une analyse elle nécessite tout de même plusieurs mois de travail pour juguler les symptômes et surtout consolider la structure psychique. Car éliminer un symptôme est une chose, faire qu'il ne revienne pas en est une autre. Cela nécessite un travail plus en profondeur, ce que permet la technique « Comportementale et Cognitive Par exemple, les symptômes majeurs d'un syndrome dépressif disparaissent en moyenne après 4 mois de traitement (sauf dans les cas de dépression grave). Mais la consolidation des mécanismes psychiques sous-jacents peut prendre une année, une année et demi, voire plus selon le cas. Les troubles psychiques Le traitement par cette méthode est particulièrement préconisé pour les états dépressifs, pour les états d'angoisse (phobiques ou autres), pour les troubles du comportement alimentaire (boulimie, anorexie,...) mais aussi et plus généralement pour les états de mal-être de la vie quotidienne : deuil, séparation, inhibition, insatisfaction chronique, doute de soi... Cette liste est loin d'être exhaustive. Tout problème d'origine psychique est susceptible d'être traité à sa racine. C'est la spécificité de ce traitement, de s'attaquer à la "racine du mal", à la cause cachée, inconsciente et non pas seulement aux symptômes visibles. C'est pourquoi ce traitement peut paraître parfois long, mais sûr, à condition d'aller jusqu'au bout. Longueur du traitement Nous luttons là contre des forces inconscientes très profondément enfouies. Ces forces inconscientes sont constituées de tout ce que nous ne voulons pas savoir sur nous-mêmes. C'est une lutte contre soi- même et à l'intérieur de nous "ça" résiste. Le patient vient en thérapie parce qu'il souffre et consciemment veut se défaire de cette souffrance. Mais il y a également en lui une autre force, inconsciente celle-là (qu'on ne veut pas savoir), qui ne veut pas lâcher cette souffrance, qui veut la garder. La thérapie consiste à vaincre cette résistance. La régularité des séances Comment ? Grâce à l'extrême régularité des séances. Une séance de thérapie par semaine, voire deux. Il ne faut pas sauter de séance (excepté pendant les vacances). Une séance ne doit jamais être annulée, mais elle peut être reportée. Cette régularité conditionne la réussite du traitement. C'est un réel engagement pour lutter contre ces forces intérieures qui "pourrissent" la vie. Le paiement des séances Le traitement a un coût financier qu'il faut prévoir dans son budget. Payer sa thérapie est important car c'est la condition de l'engagement. Ceux qui ne paient pas ne vont pas jusqu'au bout, ça ne marche pas. Ce coût n'est pas une charge, c'est un investissement sur l'avenir. Car il s'agit de se donner les moyens de se débarrasser de manière définitive de ce qui entrave notre vie. Cela permet de ne pas « s’encrer » dans nos propres « certitudes du passé » Lâcher Prise devient alors possible... ?• « Je me suis enfin libéré de mes chaînes, c’étaient mes certitudes » Marc AURELE ??Gérard Allemann Psychologue-Psycho praticien Certifié ?